Tout va bien dans le monde l’art contemporain, ça déforme les outils, ça joue avec les champs magnétiques, l’humanoïde est en maintenance, les parpaings s’empilent, et ça n’en fini pas, la proposition du Palais de Tokyo est immense.
Entre imagination et réflexion, parce que oui ça fait réfléchir quand on percute quelque chose soudain, l’errance est agréable et stimulante. Bien certainement voir et entendre Takis puis s’enfoncer dans les dédales du Palais où les scénographies s’enchevêtrent à l’infini. Quel lieu!
Petite préférence pour la performance involontaire de la dame en rose avec les bouboules de couleurs derrière le grillage de la librairie. Surement unique et éphémère, il m’en reste une photo qui me rappelle l’adrénaline de la capturer.